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Msgm Rbrsl Rubber Soul Edition Fluo Floating Sneakers Chaussures Trainers 43
Msgm rbrsl caoutchouc soul édition fluo flottant baskets baskets chaussures chaussures. Taille : 43eu/it - 9uk - 10us - fait en italie - marque neuve, emballée à l'origine. Msgm blanc et jaune rbrsl caoutchouc soul édition fluo flottantes sneakers tournechuhe - connu pour sa réinterprétation avant-gardiste des modèles existants, msgm prouve que les coureurs blancs ne sont pas nécessairement classiques et basiques avec ces sneakers. Bas-top buffed sneakers en cuir blanc. Fermeture tonale ronde de lacets d'orteils.
Logo embossé à la langue. Logo imprimé en vert sur le côté extérieur. Semelle en caoutchouc laqué en jaune fluorescent avec revêtement en caoutchouc transparent.Une partie de la collaboration d'âme en caoutchouc msgm x rbrsl. Sports luxe obtient un coup de pouce avec les sneakers flottants w / semelle florale. Le design élevé avec la paire avec votre usure hors service.
Fabriqué en cuir de veau, orteil rond, fermeture en dentelle, détail du logo sur la languette, logo contrasté imprimé sur le quart de panneau, doublure en tissu et semelle intérieure, et semelle en caoutchouc revêtue à la main. Code du concepteur: 2640ms726 - code de couleur du concepteur: 160 - matériau:cuir - couleur:blanc - hauteur de la plate-forme:4 cm.
Talon : plat - semelle : caoutchouc - matière intérieure : synthétique - fermeture : lacets. Pour trouver plus d'articles que vous pouvez aimer et sauver mon magasin pour être.
Informé sur les ventes spéciales, les nouveaux arrivants et les campagnes. On est toujours là pour toi.
L'Italie est un pays où nous sommes élevés sur le pain et la mode. Le bon goût est supposé être enraciné dans nos gènes et nous sommes tous censés être sans effort bien habillés du berceau à la tombe.
Le logo "made in italy" est une sorte d'emblème, vanté par une communauté fière de son impeccable pedigree, son almanac de getha résonnant avec des noms de dynasties familiales : armani, versace, ferragamo, missoni. Pourtant, pour toutes ses superstars de la mode, le système de mode italien a été lent à développer une nouvelle génération de jeunes designers. L'une des rares marques indépendantes à briser le plafond de verre de la mode italienne a été msgm, le cerveau du designer autodidacte et du talent brut Massimo giorgetti. Ayant cimenté à la fois la viabilité commerciale et la créativité internationale, le label de 10 ans fait maintenant l'objet d'un nouveau livre, dirigé par Giorgetti avec l'aide de sa communauté de co-conspirateurs.
Tout comme le designer lui-même, le livre a une ambiance instinctive et dynamique. Ça fait déjà 10 ans? Le label msgm de Massimo giorgetti, axé sur la jeunesse, a dix ans, et le designer célèbre le grand style. Msgm a commencé son chemin vers le succès en 2009 en regardant les traditions italiennes à travers une lentille contemporaine. Les dessins de Giorgetti ont d'abord attiré les yeux d'une jeune foule italienne avec son utilisation de motifs technicolores - souvent utilisant des tendances synesthésiques et décrivant son regard comme "musique pour vos yeux".
Les notions de jeunes et d'imprimés colorés restent prédominantes dans l'identité de la marque aujourd'hui, avec la collection ss21 de la marque qui est emballée avec des chemises de petit ami tye-dye, des costumes orange et des caftans prêts pour les vacances. Pour célébrer le 10e anniversaire de Msgm, Giorgetti a condensé l'histoire de la marque pendant une décennie en un livre de table basse de 375 pages, publié par rizzoli et sous la direction créative de giorgetti, rempli d'illustrations frappantes - sans parler de cette couverture jaune néon lumineux! La marque insiste sur le fait que c'est une anthologie (in)complete de la marque, pas toute l'histoire. Giorgetti croit qu'au lieu de tourner la dernière page de l'histoire de sa marque, les lecteurs sillonnent les pages en prévision du prochain chapitre. Le récit du livre est intrinsèquement personnel - presque autobiographique - car giorgetti fait appel à tous ses amis et à sa famille les plus proches qui ont (in)directement contribué au succès de la marque tout au long des années avec le soutien inconditionnel et la foi pour le directeur créatif. Le résultat est essentiellement une expression littéraire et visuelle de l'identité de la marque. Plongez-vous dans le monde msgm à travers une conversation entre giorgetti et la légendaire journaliste de mode charlie porter, aux côtés d'intros et d'extraits de francesco vezzoli, Katie grand et Robbie spencer. C'est une lecture juteuse, remplie d'une décennie d'histoires et de contes d'une des plus belles et uniques exportations de milan. Ici, Giorgetti parle franchement de ses débuts dans la ville balnéaire de rimini, ce que le succès signifie pour lui, et pourquoi il pense qu'un vers d'un poème d'émily dickinson imprimé sur un t-shirt est maintenant plus pertinent que n'importe quel logo. Sur le dernier épisode de la vogue du bon matin, une nouvelle allure : comment virginie viard fait elle-même chanel. Massimo giorgetti: en fait, la demande est venue de rizzoli; après mon 10e spectacle d'anniversaire à la triennale de Milan, ils sont venus à moi. C'était extrêmement flatteur et gratifiant, même si c'était un sacré travail! Surtout pour quelqu'un comme moi, qui déteste en gros le montage, si c'était pour moi, ça aurait été au moins deux fois plus gros.Mais ce fut un merveilleux voyage, en réfléchissant sur tout ce que j'ai pu accomplir jusqu'à présent.. ça ressemblait presque à une fermeture de chapitre pour ouvrir le prochain. L'épidémie de covid s'est produite pendant que le travail d'édition du livre était terminé, donc c'était un autre présage, pour ainsi dire, marquant une sorte de nouvelle phase non seulement pour msgm, mais pour nous tous, et espérons-le pour l'industrie de la mode-même si je dois dire que jusqu'à présent je n'ai pas vu que beaucoup de changements se produisent, honnêtement. Mais voyons et restons positifs. L'approche est extrêmement personnelle; il y a ma vie dans ce livre.
Il y a ma famille, mon mari Mattia, mes chiens et la coda, et tous ceux qui ont soutenu et cru en moi. Mon idée était d'éditer une sorte de magazine, comme un numéro spécial d'un fanzine fou, transmettant l'identité de msgm d'une manière très directe, honnête, sans prétention.Et l'humanité et l'unité qui ont toujours été des valeurs importantes? Pourquoi as-tu été attiré par la mode en premier lieu? Lancer une marque est un projet ambitieux. Qu'est-ce qui t'a fait décider de le faire tout seul? Je dois dire que l'intuition m'a toujours guidé.
En 2009, j'ai eu l'impression que c'était le bon moment pour commencer. Msgm est né en tant que petit projet collectif entre quatre vieux amis - la marque a été en fait nommé d'après les initiales des noms de mes amis: Massimo, simone, gaia, maurizio. Même si on s'est séparés, on reste proches et ils m'ont toujours soutenu. Et le nom msgm est en fait né de ma passion pour la musique-à l'époque j'écoutais beaucoup de groupes indépendants, mgmt étant un favori. J'étais obsédé par le son de ces lettres...
Puis le jeu à froid est sorti avec viva la vida, et sur la couverture du cd il y avait ces rayures aux couleurs vives... Je me souviens parfaitement quand dans ma tête les deux choses visuellement combinées. Vous viviez dans votre ville balnéaire, rimini, qui est connue pour ses plages infinies et sa vie de club intense. Comment vos antécédents ont-ils influencé votre créativité?J'ai toujours été intéressé par la mode-rimini est en fait un endroit où les derniers regards comptent beaucoup! Donc ma connaissance des préférences du marché et du produit de mode réel était assez forte et ancrée-je savais ce que j'aimais et ce que les clients aimaient.
La mode qui m'a inspiré et que je voulais faire était très liée à la vie que je me dirigeais à ce moment-là. Ce n'était pas seulement un désir abstrait d'habiller une femme insondable.
Ma première collection en 2009 a été presque unisexe-gros, surdimensionnées sueurs peintes à la main par un artiste de rue fou, ainsi qu'une sorte de vestes de chanel en tweed de couleur vive avec des garnitures de denim en détresse, doublées en piqué de coton déchiré préppy polo à la ralph lauren. Un peu fou, mais ça a si bien marché qu'il a été acheté sur place par 50 magasins partout dans le monde. J'ai été honnêtement repris, je n'arrivais pas à y croire. C'était streetwear style italien, avec un peu de bord rugueux mais parfaitement exécuté. Quant à rimini, ma passion pour les couleurs primaires fortes vient de là : les rangées infinies de parasols sur la plage.
J'ai pratiquement vécu sur ces plages jusqu'à l'âge de 33 ans, quand je suis parti pour Milan! C'est certainement la partie joyeuse et positive de ma marque. L'autre partie vient de la scène souterraine de Rimini à l'époque. J'étais fasciné par le mélange de personnages et complètement impliqué.
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